Je me suis levée ce matin et voilà, j’avais un blogue. Je ne sais pas trop si le fait d’avoir mis une clé USB sous mon oreiller avant de me coucher y est pour quelque chose, ou si c’est plutôt parce que j’en ait fait le voeu à 11h11 et à 22h22 la veille. Mais bon, puisque c’est là maintenant.
Je tâcherai que mes anectdotes ne soient pas trop égocentriques (dure tâche, j’en suis consciente), de me limiter à un jeu de mots douteux par post, de me restreindre à un mot emprunté à la langue de Shakespeare par article, et de ne plus utiliser langue de Shakespeare comme synonyme à anglais.
Alors voilà, en allumant le web ce matin, j’ai découvert que j’avais soudainement un blogue. Mieux encore, j’ai découvert que j’avais soudainement un beau blogue. Merci d’ailleurs à cet ami directeur artistique qui en a fait le design. Sans lui, je me serais probablement retrouvée avec du Comic Sans ou une fonte en tête-de-violon comme celle qu’utilise mon esthéticienne pour m’annoncer sa promo Aisselles de rêve.
Sublime post, comme on dit dans la langue de Jean-Baptiste Poquelin.
xxx